Dirigeant d’entreprise
Les dirigeants des entreprises sont des individus qui ont été choisis pour prendre des décisions et diriger la stratégie de l’entreprise. Ils sont responsables de la gestion des affaires et des finances, de la planification et de la mise en œuvre des stratégies, ainsi que de la gestion et de la supervision des employés.
Les dirigeants doivent également s’assurer que l’entreprise est conforme aux lois et réglementations. Les dirigeants sont responsables de la direction de l’entreprise et de ses performances à court et à long terme. Ils doivent également veiller à ce que les produits et services proposés par l’entreprise répondent aux besoins des clients.
Enfin, les dirigeants doivent assurer une communication claire entre eux et les employés et se tenir au courant des dernières tendances et des nouvelles technologies.
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comparerSelon la loi, il est question d’abus de confiance lorsqu’une personne physique ou morale viole un accord oral ou écrit concernant l’utilisation de biens qui lui sont remis. En général, cette infraction est perpétrée sous forme de détournement avec intention, de biens quelconques et de l’usage auquel ceux-ci sont destinés, causant préjudice à la victime. Dans les cas les plus courants, les biens concernés sont des fonds, mais cela peut tout aussi bien être des biens immatériels. Comment reconnaître l’abus de confiance ? Quels sont les recours possibles ? Nos explications dans cet article.
L’utilisation des ressources d’une société à des fins personnelles peut inculper le dirigeant de celle-ci d’abus de biens sociaux. De quoi s’agit-il exactement ? Quelles sont les sanctions de ce délit pénal ? Nous répondons à vos questions dans cet article.
Capital sécurisé, fiscalité avantageuse, conditions d’épargne flexible..., l’assurance-vie se présente comme la forme de placement et de prévoyance par excellence pour les dirigeants d’entreprise. Mais de quoi s’agit-il exactement ? Quel est le fonctionnement de ce dispositif ? En quoi la souscription à un contrat d’assurance-vie est-elle bénéfique ? Les réponses.
À titre professionnel ou personnel, le gérant d’une société peut connaître un besoin d’argent, le poussant à souscrire un voire plusieurs crédits à la consommation. Devoir rembourser sur une même période ces charges peut être contraignant, principalement dû à l’accumulation des dettes. Dans ce cas, envisager de regrouper ses crédits conso peut être bénéfique pour le professionnel. Quelles sont les spécificités et les conditions de cette opération, on vous dit tout.
D’après le Code du travail français, un travailleur indépendant correspond à un professionnel exerçant une activité économique à son propre compte. Depuis le 1er juillet 2021, les personnes appartenant à ce statut bénéficient d’un allongement de leur congé de paternité. D’ailleurs, le dispositif comprend deux fractions, dont une obligatoire et une autre facultative. D’un côté, le gouvernement encourage les pères à prendre la totalité de leur congé paternité. Néanmoins, vu la particularité du statut de travailleur indépendant, un arrêt de travail impacte directement sur les revenus du freelance, contrairement à un salarié ordinaire. Par ailleurs, les principes ne sont pas les mêmes pour les deux statuts.
Dans cet article, focus sur le congé de paternité pour les personnes exerçant une activité indépendante.
La loi du 1er août 2006, applicable depuis le 1er juillet 2007, impose à toute personne qui travaille activement dans l’entreprise de son conjoint de choisir un statut. Si tel est votre cas, sachez que vous avez le choix entre trois statuts principaux : conjoint associé, conjoint collaborateur et conjoint salarié. Avant de vous lancer, il est important de réfléchir à votre statut, car il impacte vos droits et obligations professionnelles. Pour vous aider à décider, le présent guide vous renseigne sur les particularités ainsi que les avantages et les inconvénients de chaque statut.
De plus en plus d’entrepreneurs et de créateurs de projets se posent la question suivante : est-il possible d’être salarié de sa propre entreprise ? Un associé et/ou un dirigeant de société peuvent-ils bénéficier du statut de salarié ?
Assurance maladie, assurance chômage, régime de retraite… Nombreux sont les avantages du statut de salarié. Ce sont les motifs qui poussent un entrepreneur à le conserver. Mais ce régime salarié est-il adopté à tout type de projet entrepreneurial ? Quelle forme d’activité est la plus compatible ? Existe-t-il un type d’entreprise exclu à la règle ? Explications.
Le professionnel libéral, quel que soit son secteur d'activité, doit pouvoir payer des cotisations à la société. Il assurera ainsi, sa vieillesse, sa retraite, ses éventuels problèmes de santé ainsi que sa protection sociale. Les contributions sociales sont variées, mais dépendent toutes de vos revenus annuels ou du plafond annuel de la sécurité sociale.
Que vous soyez nouveau ou ancien travailleur indépendant, Les différentes cotisations que vous devez allouer sont les assurances vieillissement, les pensions de familles ainsi que les assurances pour les naissances et les problèmes de santé.
Selon le type de société (Société par Action Simplifiée ou Société à Responsabilité Limitée) ou encore la répartition du capital entre les associés (inférieur ou supérieur à 50 %), un dirigeant peut être soumis au régime salarié ou du travailleur non-salarié. Quel est le statut le plus favorable ? Aucun a priori, mais nous vous donnons quelques pistes pour bien choisir.
Entré en vigueur depuis le 1er janvier 2009, dans le cadre de la loi sur la modernisation de l’économie, le statut de l’auto entrepreneur est un régime spécifique qui permet l’exercice d’une activité professionnelle, dans le cadre individuel, sous certaines conditions, en bénéficiant de nombreux avantages. Créé en vue d’aider à la formation de l’initiative privée, l’exercice de toute entreprise sous ce statut, peut être fait par, les demandeurs d’emploi, les retraités, les étudiants, et même les salariés du public ou du privé, sans obligation pour eux de cesser leurs fonctions rémunérées. Mais la question qui se pose dès lors est relative à la possibilité de cumuler ce statut avec les fonctions de dirigeant d’entreprises dont l’activité est exercée sous une autre forme juridique, notamment celles de président de SAS ou de gérant de SARL. C’est à cela que nous allons essayer de répondre.
Il est courant que le conjoint d’un chef d’entreprise participe activement à la vie et à la gestion quotidienne de celle-ci. Après ne pas avoir eu de statut particulier, pendant longtemps, et courir des risques de lèse en cas d’un divorce ou du décès du chef d’entreprise, le problème a été finalement résolu par la loi. En effet, l’article L.121-4 du code de commerce reconnait depuis le 1er juillet 2007, trois statuts juridiques au conjoint du chef d’une entreprise qui exécute au sein de celle-ci, une activité professionnelle, de façon régulière. Ce sont les statuts de conjoint en tant que collaborateur, salarié, ou associé.
Depuis 2007, le statut de fonctionnaire permet aux agents dépendant de la fonction publique de cumuler, sous certaines conditions leurs traitements avec des revenus non-salariés. En effet, la « loi de modernisation de la fonction publique » du 2 février 2007 complétée par la « loi sur la mobilité et les parcours professionnels dans la fonction publique » du 3 août 2009 ont marqué l’évolution du statut de fonctionnaire, figé jusqu’à présent, en permettant aux agents des différentes fonctions publiques de s’insérer dans les nombreux enjeux économiques actuels et de pouvoir également contrer la crise en exerçant une activité parallèle tout en restant protégé.
Un Travailleur Non Salarié (TNS) est un chef d’entreprise qui n’a pas le même statut que celui d’un salarié. C’est une personne physique qui exerce une activité non salariée, qu’elle soit à vocation commerciale, artisanale ou même libérale. Le travailleur non-salarié a pour impératif de s’immatriculer auprès de la Chambre dont dépend son secteur, à savoir Chambre de Commerce et d’Industrie (CCI), ou Chambre des Métiers par exemple. Le statut du travailleur non-salarié est par conséquent un statut social singulier qui va obliger le travailleur à cotiser à certains organismes sociaux afin de recevoir en contrepartie une protection sociale particulière comme l’assurance maladie, l’assurance chômage, la retraite, etc.
En tant que dirigeant d’entreprise, il est bien normal de se demander sur la manière dont on va recevoir le fruit de son investissement. Rémunération ou dividendes ? C’est une question qui mérite d’être posée afin d’optimiser la rentabilité de votre investissement. Pour mieux arbitrer votre choix, on va vous détailler ci-après les avantages et les inconvénients de chaque mode de paiement.
Clap de fin pour la déclaration sociale des indépendants (DSI) en 2021. Le ministère de l’Économie continue d’entreprendre la simplification des démarches administratives, en supprimant cette déclaration annuelle qui incombait à tous les indépendants relevant du régime général des travailleurs indépendants.
Dans un souci de simplification, le ministère de l’Économie a intégré ce volet social dans la déclaration des revenus depuis 2021, avec la création de la déclaration sociale et fiscale de revenus unifiée. Peu de changements sont donc à noter concernant l’assiette d’imposition et le taux d’imposition. Mais est-ce que tous les travailleurs indépendants sont concernés par cette nouvelle réforme ? Comment procéder à la nouvelle déclaration sociale et fiscale de revenus unifiée ? Voici nos réponses concrètes pour que vous ne fassiez pas d’erreur au moment d’effectuer votre déclaration pour les cotisations sociales.
L’entreprise individuelle est une forme juridique très appréciée des créateurs d’entreprise. Les avantages sont en effet nombreux : prise de décision facilitée, gestion de l’entreprise plus simple qu’en société, pas de capital à apporter… C’est une forme juridique particulièrement adaptée aux entrepreneurs débutants.
Toute l’activité de l’entreprise est pilotée par l’entrepreneur individuel. C’est le dirigeant de l’entreprise, qui est seul maître à bord.
Cette rubrique décrypte pour vous tout ce qu’il faut savoir sur le dirigeant d’une entreprise individuelle : rôle, régime fiscal et social, responsabilité…
Acteur indispensable pour toute société, le dirigeant d’entreprise est chargé de représenter l’entreprise et d’assurer sa gestion quotidienne.
Selon la forme sociale choisie, la taille de l’entreprise ou encore la rédaction des statuts, son titre et ses missions sont sensiblement différents. Sa rémunération et son statut social varient également. La notion de dirigeant d’entreprise est donc plurielle : elle est loin de ne recouper qu’une seule réalité.
Cette rubrique décrypte pour vous les règles encadrant la fonction de dirigeant d’entreprise : son régime social, sa rémunération, ou encore le cumul avec d’autres statuts.
En contrepartie de sa rémunération, le dirigeant de société a l’obligation de s’affilier à un régime social et de payer les charges sociales y afférentes. Le niveau de couverture sociale ainsi que le montant des cotisations à payer dépendent en majeure partie de la forme juridique de la société qui emploie le dirigeant. Tout comme le régime auquel il est affilié. Quels sont les différents régimes sociaux des dirigeants de société ? Qu’est-ce qui les différencie ? Toutes les réponses à vos questions.
La gérance majoritaire fait partie des types de gérance dans une société, tout comme la gérance minoritaire (gérant minoritaire) et la gérance égalitaire. Le gérant ou dirigeant qui détient plus de 50 % des parts sociales d’une société possède le statut de gérant majoritaire. Un statut juridique qui implique des obligations, avec des avantages et des inconvénients. Voici tout ce qu’il faut savoir sur la gérance majoritaire dans une société.
La loi du 2 août 2005 (L. n° 2005-882, 2 août 2005) a changé la situation du conjoint/conjointe d’un dirigeant d’entreprise. Plusieurs éléments sont à prendre en considération depuis. Sans entrer dans les détails des effets de chaque statut (régime social et fiscal, sécurité sociale), explications des différents statuts et conditions pour en bénéficier.
La création d’entreprises est à n’en pas douter un beau projet. Toutefois, elle n’en est pas moins dépourvue de risques. D’ailleurs, si le porteur de projet compte se marier, le choix du régime matrimonial revêt une importance capitale. En effet, il a de grandes incidences sur le plan professionnel, mais également sur la protection du patrimoine personnel du dirigeant et du couple. Alors, quel régime matrimonial est le plus judicieux pour un entrepreneur ? Découvrez ainsi dans cet article ce qu’il y a à savoir le sujet.
Forme de contrat un peu particulière, le régime matrimonial peut être changé au cours de la vie. Parmi les raisons qui peuvent justifier cette modification, on trouve notamment le passage du statut du créateur d’entreprise de salarié à dirigeant d’un des conjoints pour la réalisation de son activité professionnelle. Si la formalité est moins fréquente qu’un changement de capital social pour une entreprise, le changement de régime matrimonial n’est pas si compliqué que ce que l’on peut penser.
Les travailleurs indépendants sont tenus de déclarer chaque année leurs revenus professionnels soumis aux cotisations TNS en établissant une déclaration sociale des indépendants. Pour le calcul des cotisations sociales de travailleur non-salarié du chef d’entreprise, la base de calcul qui est retenue dépend de la forme juridique d’exercice de l’activité ainsi que du régime fiscal qui est appliqué.
À noter que dès les premières années d’activités, une société doit payer ses cotisations d’assurance maladie-maternité, invalidité-décès, les allocations familiales, l’assurance vieillesse des artisans et commerçants (pour les entrepreneurs individuels), ou dès la date de début d’activité (ou la date d’immatriculation de la société pour les dirigeants).
Opter pour le statut de travail non salarié implique nécessairement des formalités spécifiques d’immatriculation et d’affiliation auprès d’un organisme, ainsi que le paiement des cotisations sociales qui sont dues au titre de ce régime.
Dans cet article, nous verrons les démarches à accomplir pour s’inscrire et s’affilier au Régime Social des Indépendants RSI, en tant que travailleur non-salarié. Ces formalités ne sont pas compliquées à effectuer, mais elles nécessitent d’être bien connues de l’entrepreneur qui désire opter pour le régime de Travailleur non-salarié.