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comparerFaire appel à des intérimaires s’avère être une solution efficace pour recruter vite et bien. Cette option est souvent plébiscitée par les entreprises pour combler un manque dans les effectifs ou pour pallier un pic d’activité. Cependant, cette méthode de recrutement est strictement encadrée par la loi. Découvrez dans cet article les raisons valables pour recourir à un contrat d’intérimaire. De même, voyez comment embaucher un intérim.
En entreprise, l’employeur a la possibilité de recruter un salarié pour une durée limitée au moyen d’un CDD. Ce type de contrat n’intervient toutefois que dans des situations précises énumérées par le Code du travail. Que sont-elles ? Quelles sont les caractéristiques du CDD ? Comment engager en CDD et dans quelles conditions peut-il être rompu ? Réponses.
Le CDI (contrat à durée indéterminée) est le type de contrat de travail le plus utilisé par les employeurs. Il est aussi le plus convoité par les salariés, car il garantit une certaine stabilité de l’emploi. Mais de quoi s’agit-il exactement ? Quelles sont les formalités pour embaucher en CDI ? Voici tout ce qu’il faut savoir sur le contrat de travail à durée indéterminée.
Open!Eat entend révolutionner le secteur convoité des titres restaurants. Son crédo : la solution entièrement dématérialisée. Open!Eat se passe donc des chèques et cartes qui semblaient incontournables jusqu’alors. Si cet argument séduit déjà, l’offre comporte des fonctionnalités avancées bénéfiques pour les entreprises et les collaborateurs. Découvrons cela ensemble.
L'anglais fait partie des langues les plus parlées dans le monde. Sur 195 pays, elle est considérée comme la langue principale dans au moins 67 d'entre eux. Il s'agit du moyen de communication privilégié à l'international et surtout en milieu professionnel. Avoir une certaine aisance avec la langue de Shakespeare peut donc vous aider à mieux vous épanouir dans votre travail. Cela peut faciliter les échanges avec certains de vos collaborateurs ou augmenter vos perspectives professionnelles. Il est donc opportun de tout faire pour atteindre un bon niveau d'anglais professionnel.
Embaucher un salarié est parfois nécessaire pour une entreprise qui voit son activité augmenter. Seulement, une embauche non préparée peut se révéler catastrophique pour l’entreprise. Dans les cas les plus extrêmes, une mauvaise politique d’embauche peut amener à la fermeture de l’entreprise. Il convient donc de suivre certaines étapes et de s’interroger correctement avant de proposer un emploi.
Solution de Natixis Intertitres, Apetiz simplifie le quotidien des entreprises et de leurs salariés. Ce titre-restaurant (TR) peut en effet s’utiliser auprès d’un grand nombre de restaurateurs et commerçants en France. Il présente en plus de nombreux avantages, aussi bien pour l’employeur que pour ses employés. Bien évidemment, la souscription à ce service a un coût qui diffère d’une société à l’autre. Alors, opter pour Apetiz a-t-il son intérêt pour votre entreprise ? Que faut-il savoir concernant cette solution ? Cet article vous aide dans votre prise de décision.
La dématérialisation se démocratise dans les entreprises. Elle intervient même jusqu’au déjeuner des salariés. Les vieux carnets de titres restaurant sont mis aux oubliettes. Désormais, on utilise la carte Swile pour acheter son repas. Finis les tickets restaurant perdus, fini la paperasse. Focus sur Swile, la première smartcard qui modernise la vie en entreprise.
La dématérialisation des titres-restaurant se présente comme une solution à la fois moderne et pratique depuis 2008. À l’heure actuelle, il est même devenu possible de payer les achats alimentaires via son smartphone à travers de nombreuses plateformes. Parmi les créateurs de tickets-restaurant les plus connus, il y a Edenred. Dans cet article, découvrez cette solution innovante à la portée des entreprises, des salariés et des commerçants.
Bien plus que de simples moyens de paiement, les chèques et les cartes déjeuners représentent des avantages sociaux pour les salariés et les entreprises. Sur ce sujet, UpDéjeuner fait partie des meilleurs et des plus plébiscités par les entreprises pour leurs employés, et ce, depuis plusieurs années. Avantage social préféré des Français, UpDéjeuner est le titre restaurant le plus connu. Zoom sur cette solution.
Vous prévoyez de donner des titres-restaurant (TR) à vos salariés pour couvrir leurs repas ? Facultatifs, ces moyens spéciaux de paiement des repas se révèlent en effet avantageux, aussi bien pour votre entreprise que pour vos employés. Néanmoins, savez-vous comment les attribuer, les utiliser et les choisir comme il se doit ? Cet article fait justement le point sur ces titres de restauration. Vous pouvez d’ailleurs découvrir en bonus les meilleurs titres-restaurant qui existent actuellement.
Les plans d’épargne pour la retraite permettent de se constituer un capital pour sa retraite. Cette épargne accumulée sur le plan d’épargne pourra générer des gains grâce à des taux d’intérêt avantageux. Au-delà des gains réalisés sur l’épargne, les avantages fiscaux applicables incitent également chaque année de nombreux épargnants à souscrire un tel plan d’épargne.
Avec la fin de la commercialisation en octobre 2020 des plans d’épargne pour la retraite collective (PERCO), des plans d’épargne retraite populaire (PERP), des contrats Madelin et des contrats article 83, trois autres plans d’épargne retraite (PER) sont désormais proposés depuis le 1er octobre 2019. À l’origine de ce renouvellement de fond, la loi PACTE avec la volonté de proposer aux épargnants une épargne retraite sous forme de rente ou d’un capital et d’intégrer d’autres cas pouvant justifier un déblocage anticipé de l’épargne. Censés être plus avantageux pour les épargnants, voyons plus en détail ce qui se cache réellement derrière ces nouveaux PER.
Les plans d’épargne et primes se multiplient au sein des entreprises. Ces derniers permettent aux employeurs et aux salariés de bénéficier de taux d’intérêt et d’avantages fiscaux. Certains de ces dispositifs doivent être obligatoirement proposés en entreprise, tandis que d’autres restent une option laissée à la libre appréciation du dirigeant d’entreprise.
Nous faisons le point avec vous concernant les plans d’épargne salariale et les primes qui peuvent être proposés à l’heure actuelle par les employeurs pour leurs salariés.
Le plan d’épargne pour la retraite collectif (PERCO) pouvait être proposé aux salariés par leur employeur. L’on emploie ici le passé, car depuis le 1er octobre 2020 il n’est plus possible pour une entreprise de proposer un nouveau PERCO à ses salariés. Cependant, un PERCO peut toujours être applicable au sein des entreprises ayant opté pour ce dispositif d’épargne avant le 1er octobre 2020. Pour les autres entreprises souhaitant tout de même proposer un plan d’épargne du même type à leurs salariés, ces dernières peuvent se tourner vers un plan d’épargne retraite (PER).
Un PERCO déjà mis en place dans une entreprise reste cependant avantageux dans certains cas, aussi bien pour les salariés qui en bénéficient que pour le chef d’entreprise. Voici pourquoi…
La déclaration sociale nominative (DSN) remplace depuis 2017 un certain nombre de déclarations nécessaires pour notamment calculer les charges sociales sur les salaires ou bien encore enregistrer les salariés auprès de certains organismes (ex. : Pôle emploi, CPAM, etc.). L’objectif de cette déclaration unique est avant tout de simplifier les démarches administratives à la charge des employeurs.
Même si les démarches administratives sont désormais simplifiées avec la DSN, il n’en demeure pas moins qu’un certain nombre de formalités doit être respecté par tout employeur. Nous vous rappelons dans cet article comment effectuer votre déclaration sociale nominative (DSN).
Certaines contributions patronales ont été créées il y a plusieurs années pour répondre à un besoin de financement spécifique. Aujourd’hui, il peut être difficile de lister et de comprendre chacune de ces contributions. Le « 1 % logement » fait partie de ces contributions qui demeurent à la charge de certains employeurs depuis 1943, mais qui restent bien souvent méconnues dans leur utilité et leur mise en œuvre.
Pourtant, cette participation des employeurs à l’effort de construction (PEEC) est à la charge de bon nombre de chefs d’entreprise. Son pourcentage peu élevé ne permet pas de considérer cette participation comme une charge coûteuse pour l’entreprise, mais il reste essentiel de bien comprendre ses modalités d’application. Employeur comme salarié, voici une présentation de ce dispositif qui peut vous concerner…
Le bordereau récapitulatif des cotisations (BRC) était auparavant rempli par toutes les entreprises, que ce soit du secteur privé ou public. Il était accompagné du tableau récapitulatif (TR). Dans une volonté de simplification des déclarations administratives à la charge des entreprises, l’État a remplacé le BRC pour les entreprises du secteur privé par la déclaration sociale nominative (DSN) à partir de 2015.
Aujourd’hui, la DSN concerne tous les employeurs, excepté les employeurs sous le statut de particulier et les employeurs dans le secteur public. Par conséquent, à l’heure actuelle le BRC est encore utilisé principalement par les employeurs de la fonction publique. Les autres entreprises non concernées par la DSN devront remplir quant à elle la déclaration automatisée des données sociales unifiées (DADSU). Concernant le BRC, voici comment réaliser cette déclaration dans les temps et sans erreurs.
La participation en entreprise permet aux salariés de recevoir sous forme de primes de participation une part des bénéfices réalisés par l’entreprise. À la lecture de cette définition, certains pourraient se demander alors quelle est la différence entre participation et intéressement au sein d’une entreprise. En effet, tout comme pour la participation, l’intéressement permet aussi de reverser une partie des bénéfices aux salariés. Sauf qu’une différence de taille existe sur le plan juridique : la participation est un dispositif qui doit être mis en place obligatoirement dans les entreprises qui emploient au moins 50 salariés pendant au minimum 5 ans. L’intéressement quant à lui reste un dispositif facultatif pour l’employeur.
Une fois cet éclaircissement fait, reste à savoir : quelles sont les conditions d’application de la participation en entreprise ? Comment les primes sont-elles calculées et versées ? Quels sont les salariés qui peuvent bénéficier des primes de participation ? Nous faisons le point avec vous dans cet article…
Pour tout employeur, il est quelquefois difficile de lister toutes les contributions à sa charge. En effet, au-delà des cotisations sociales patronales, de nombreuses autres contributions peuvent s’ajouter au moment de recruter des salariés. Parmi ces contributions, le forfait social se présente comme une cotisation dont est redevable un employeur afin d’aider au financement de la sécurité sociale. Cette cotisation n’est appliquée que sur les sommes versées aux salariés qui ne sont pas soumises aux cotisations sociales, mais qui sont néanmoins imposées au titre de la contribution sociale généralisée (CSG). Des cas d’exonération sont également prévus, ainsi que des taux différenciés selon la nature de la somme versée à un salarié.
Pour vous aider à vous y retrouver au milieu de toutes ces particularités, nous faisons le point avec vous sur comment est appliqué le forfait social et comment le payer.
Au sein d’une entreprise, l’employeur est libre de proposer différents dispositifs avantageux à ses salariés. Parmi ces dispositifs, l’intéressement permet aux salariés de prendre part à la croissance économique de l’entreprise qui les emploie. En effet, au-delà de la simple perception d’un salaire, il est toujours plus motivant pour un salarié de contribuer au développement économique d’une entreprise lorsque ce dernier peut en contrepartie recevoir une partie de ces bénéfices.
Mais qu’est-ce que l’intéressement exactement au sein d’une entreprise ? Comment le mettre en place ? Quels sont les avantages pour l’employeur ? Quels sont les avantages pour les salariés ? Focus sur ce dispositif qui séduit de plus en plus d’employeurs et de salariés pour développer une relation gagnant-gagnant au sein d’une entreprise.
Le plan d’épargne entreprise (PEE) est bien souvent nommé lorsqu’il s’agit de verser des primes au titre d’une participation ou d’un intéressement à un salarié. En effet, ce dispositif porte bien son nom, car il s’agit avant tout d’un plan d’épargne. Ce plan d’épargne présente la spécificité d’être proposé dans le cadre d’une entreprise. Comme bien souvent pour des dispositifs négociés au sein d’entreprise, ce plan d’épargne présente plusieurs avantages que les salariés ne retrouveront pas forcément en ouvrant un plan d’épargne à titre personnel. L’employeur de son côté peut bénéficier d’un dispositif supplémentaire pour y verser des sommes d’argent au titre d’une participation, d’un intéressement ou même de la fermeture d’un compte épargne temps (CET) d’un salarié.
Mais comment fonctionne un plan d’épargne entreprise ? Comment appliquer ce dispositif au sein de l’entreprise ? Comment un salarié peut-il disposer de son épargne ? Quelles sont les obligations de l’employeur ? Salarié comme employeur, voici un récapitulatif des principales informations à connaître sur le PEE.
Le registre unique du personnel fait partie des registres devant être obligatoirement tenus par un employeur recrutant un ou plusieurs salariés. L’objectif de ce registre est notamment de recenser toutes les personnes travaillant au sein de l’entreprise et sous la subordination d’un employeur. Bien évidemment, l’objectif caché est d’éviter tout travail non déclaré par l’employeur cherchant à ne pas payer les charges inhérentes au recrutement d’un salarié.
En soi, la tenue de ce registre unique du personnel n’est pas si compliquée. L’employeur devra veiller à ce que ce registre contienne différentes informations concernant le personnel qu’il emploie. La principale difficulté réside donc principalement en la mise à jour régulière de ce registre au fur et à mesure de la signature des contrats de travail. Pour éviter toute sanction en cas de contrôle, voici un rappel des principales dispositions à respecter…
Le compte épargne temps (CET) fait partie des dispositifs optionnels qui peuvent être appliqués au sein d’une entreprise. Bien que peu présenté dans les revues ou autres supports multimédias à destination des employeurs et des salariés, ce dispositif optionnel présente des avantages aussi bien pour les salariés que pour leur employeur.
Mais qu’est-ce que le compte épargne temps exactement ? Comment appliquer ce dispositif au sein d’une entreprise ? Quelles sont les règles à respecter en la matière ? Nous vous répondons dans cet article…
La rupture conventionnelle est en réalité un moyen permettant aux salariés licenciés ainsi qu’aux employeurs de trouver un accord quant à la potentielle annulation du contrat de travail. Entrainant dans la majorité des cas des indemnités, la rupture conventionnelle dépend de plusieurs paramètres en fonction de la situation de chacun.
À la fin de chaque mois, on peut observer un écart de montants plus ou moins considérable sur le bulletin de paie. En effet, le salaire brut et le salaire net sont très différents. La confusion entre ces deux notions peut aussi créer une mauvaise surprise entre l’entretien d’embauche et la première rémunération. Pour éviter tout conflit entre votre entreprise et une nouvelle recrue donc, une précision s’impose.
Alors, quelle est la différence entre « brut » et « net » ? Quelles sont les retenues sociales à considérer ? Comment calculer le montant que le salarié va percevoir ? Éléments de réponse.
Comme l’on peut s’en douter, calculer et verser un salaire à un salarié ne peut s’effectuer à la seule appréciation de l’employeur. En effet, plusieurs règles contenues dans le Code du travail prévoient notamment l’application d’un salaire minimum ainsi que les modalités de calcul et de versement d’un salaire.
L’objectif ici est bien évidemment d’éviter tout abus de la part d’un employeur concernant la rémunération d’un salarié. Ainsi, tout travail effectué par un salarié au sein d’une entreprise doit faire l’objet en contrepartie d’une rémunération minimum. En tant qu’employeur, vous ne pouvez pas vous soustraire aux dispositions législatives concernant la fixation et le versement d’un salaire. Pour envisager sereinement le recrutement d’un salarié dans votre entreprise, voici les principales dispositions législatives à respecter en la matière…
De nombreuses dispositions ont été prises concernant l’égalité professionnelle entre les hommes et les femmes au sein d’une entreprise. Cependant, des progrès sont encore à réaliser en la matière. La mise en place d’une négociation collective sur l’égalité professionnelle fait partie de ces dispositions ayant fait l’objet d’un texte de loi afin d’aider les entreprises à tendre vers une meilleure égalité professionnelle.
Mais qu’est-ce qu’une négociation collective sur l’égalité professionnelle ? Est-ce que cette négociation doit être obligatoirement organisée au sein d’une entreprise ? Quels sont les sujets de discussion lors de cette négociation ? Voilà un sujet qui intéresse désormais toutes les entreprises, quelle que soit leur taille. Voici pourquoi…
Si le télétravail a pris du temps à être accepté par la majorité des entreprises, aujourd’hui ce mode de travail se voit imposé lorsque les conditions sanitaires l’exigent. La pandémie de Covid-19 a considérablement accentué la mise en place du télétravail au sein des entreprises. L’objectif principal dans ce cas est de concilier la continuité de l’activité économique et la nécessité de réduire la présence des salariés au sein des locaux de l’entreprise.
Avec l’émergence et l’accélération de ce nouveau cadre de travail, plusieurs interrogations se sont posées concernant notamment les droits et devoirs de l’employeur et des salariés. De plus, le recours au télétravail ne répond pas aux mêmes impératifs lorsqu’une crise sanitaire - comme celle de la Covid-19 - sévit sur le territoire. Dès lors, est-ce que le télétravail est obligatoire pour tous les salariés d’une entreprise ? Dans quel cas l’employeur peut-il refuser le télétravail à un salarié ? Est-ce qu’un salarié en télétravail possède les mêmes avantages qu’un salarié travaillant dans les locaux de l’entreprise ? Nous répondons à ces principales interrogations dans cet article…
Même si de nombreux progrès ont été faits en la matière, l’inégalité de traitement entre les hommes et les femmes subsiste dans les entreprises. En 2020, le ministère du Travail, de l’Emploi et de l’Insertion confirme que la rémunération moyenne des femmes est 9 % moins élevée que celle des hommes à poste égal. Cette inégalité est notamment présente dans les PME de plus de 50 salariés où les différences de salaires sont d’autant plus fréquentes au sein d’une même catégorie socio-professionnelle.
Les fins du mois représentent toujours une appréhension pour votre entreprise : c’est le moment de s’occuper de la paie des employés. Saisie, contrôle, calcul, vérification... Gérer la paie est une tâche chronophage qui requiert une énorme concentration. Afin de vous libérer de vos soucis et vous faciliter le travail, il y a Mapaye, une solution moderne et innovante. Avec ce logiciel de paie en ligne, payer vos salariés deviendra désormais un jeu d’enfants. Toutefois, à qui s’adresse Mapaye ? Comment fonctionne le service ? Quels sont ses avantages ? Qu’en est-il du tarif ? Faisons le tour du sujet dans cet article.
Tâche technique et complexe, la gestion de la paie dans une entreprise ne doit pas s’opérer au hasard. Aujourd’hui, TPE, PME et grandes entreprises se tournent vers des solutions dédiées pour se faciliter la tâche, mais surtout pour mieux se focaliser sur leur cœur de métier. Il existe des logiciels de paie non payants qui vous permettent de réaliser des économies et d’optimiser votre retour sur investissement. Zoom sur les meilleurs logiciels de paie gratuits sur le marché.
La gestion de la paie est une tâche compliquée qui prend beaucoup de temps. Le moindre erreur peut fausser les bulletins de paie et les déclarations sociales au risque de pénaliser l’entreprise. L’utilisation d’un logiciel de paie devient alors indispensable pour éviter les écueils. C’est là que Nibelis entre en jeu.
Les activités chronophages sont les plus grandes ennemies des professionnels des Ressources Humaines. Saisir, imprimer, scanner, photocopier, mettre sous pli... voilà autant de tâches synonymes de perte de temps. Pour gagner en productivité, il est alors indispensable de digitaliser les processus RH. Dans cette optique, Silaexpert propose une solution innovante qui automatise la production des fiches de paie. Zoom sur Silae, le logiciel de paie et social en ligne.
L’établissement d’une fiche de paie se révèle comme une tâche trop chronophage pour les entrepreneurs. C’est pourquoi Karotpay propose l’édition en ligne de ce type de document. L’avantage ? Un gain de temps à allouer à des missions plus stratégiques. Zoom sur Karotpay, le N° 1 sur le marché de la fiche de paie en ligne.
La gestion de la paie est une tâche chronophage pour les entreprises. C’est la raison pour laquelle il est nécessaire de l’automatiser. La startup française Payfit propose un outil qui permet de numériser la gestion de la paie et des ressources humaines. Le point sur Payfit.
Il est grand temps pour votre entreprise de procéder à un recrutement. Avant l’embauche, définir quel type de contrat signer avec le futur salarié se révèle en tout cas primordial. Les conditions de travail détermineront alors le contrat à appliquer. Évidemment, avant de procéder à la rédaction de ce document important, vous devez posséder au moins quelques notions concernant les différents types de contrats de travail.
Conformément au Code du travail, tout salarié a droit à 30 jours de congé payé par an (24 jours de congé principal et 6 jours de au titre de la cinquième semaine), soit 2,5 jours par mois. Et ce quels que soient son statut, sa catégorie, sa qualification, sa rémunération et son horaire de travail. Pendant ses congés, le salarié continue à percevoir son salaire, ou plutôt des indemnités de salaire dont le montant de base est défini par le Code du travail.
Le salaire est un droit du salarié qu’aucun employeur ne peut refuser. Son montant est librement choisi entre les deux parties selon la formation, la compétence, l’expérience du salarié et le profil de l’emploi, mais ne peut pas être en dessous du SMIC. Le paiement du salaire est soumis à une réglementation stricte dont le non-respect est répréhensible par la loi. Mais quelles sont les obligations des employeurs dans le cadre du paiement de salaire ? À quelles sanctions s’exposent-ils en ne respectant pas ces obligations ?
L’exercice des activités dans une entreprise requiert du personnel. L’embauche représente la partie du processus d’insertion des employés au sein de l’entreprise. Toutefois, cela implique nécessairement des obligations à la charge de l’employeur, notamment en matière de déclarations sociales.
La remise de la fiche de paie ou bulletin de salaire fait partie des obligations légales de l’employeur envers ses employés. Cependant, cette tâche s’avère complexe et peut faire l’objet d’irrégularités. Heureusement, en s’appuyant sur les dernières avancées technologiques et numériques, il devient possible de simplifier et de sécuriser la paie. On parle alors de paie en ligne. Vous devez savoir que de nombreuses entreprises ont déjà adopté ce type de solution. Si vous aussi, vous souhaitez sauter le pas, voici ce qu’il faut savoir sur comment faire la paie en ligne avec un logiciel dédié.
Peu importe la taille et la forme juridique de votre entreprise, vous devez éditer une fiche de paie pour chacun de vos salariés. Remis en main propre, par voie postale ou sous forme électronique, ce document reflète en effet la relation contractuelle entre l’employeur et l’employé. Bien évidemment, faire un bulletin de paie ne s’improvise pas et ne s’effectue nullement au hasard. De fait, vous devez établir une fiche juste qui cadre parfaitement bien avec les situations individuelles de vos salariés. De même, celle-ci doit se conformer aux obligations légales et conventionnelles.
La formation fait partie des droits des salariés. Dans un contexte économique où le marché du travail évolue de plus en plus rapidement, il est dorénavant rare qu’un salarié puisse exercer une activité professionnelle sans se former au cours de sa carrière. Les nouvelles technologies concourent pour beaucoup à ce besoin de formation complémentaire.
Dès lors, plusieurs obligations pèsent sur les employeurs qui doivent s’assurer que leurs salariés aient accès aux formations si besoin. Mais quelles sont ces obligations ? L’employeur doit-il lui-même veiller à la formation de ses salariés ? Réponses dans cet article…
La startup est devenue un modèle d’entreprise de plus en plus privilégié pour tester un projet innovant et développer économiquement une entreprise.
Mais avant d’atteindre une telle croissance économique, la startup doit pouvoir gagner des parts de marché et faire sa place dans le domaine d’activité où elle souhaite progresser. Une fois la startup créée, il peut être nécessaire d’envisager le recrutement de salariés au sein de l’entreprise. Cette étape importante dans le développement d’une startup ne doit pas être réalisée à la légère. En effet, de nombreuses conséquences juridiques découleront du recrutement d’un salarié.
Faut-il envisager un CDI ou un CDD ? Peut-on recourir à l’intérim ou au stage ? Quelles sont les déclarations à effectuer suite au recrutement d’un salarié ? Pour envisager sereinement le recrutement de vos premiers salariés, voici un guide qui vous présente les principales étapes de recrutement à réaliser.
Lorsqu’une entreprise se développe, recruter ses premiers salariés devient une étape incontournable. Au-delà de l’enjeu de recruter un salarié présentant toutes les compétences nécessaires pour occuper le poste à pourvoir, un employeur doit également veiller à ce que toutes les formalités administratives concernant le recrutement et la gestion de la paie soient bien respectées.
Même si des efforts de simplification de ces formalités administratives sont visibles ces dernières années, il n’en demeure pas moins qu’en France le volet administratif concernant le recrutement d’un salarié amène son lot de paperasse à remplir. Pour vous éviter de vous retrouver face à une sanction administrative, nous faisons le point avec vous sur les principales démarches que vous devez effectuer au moment de recruter un salarié.
Le taux des charges sociales en France est le plus élevé si l’on se réfère aux pays développés. Les employés comme les employeurs sont contraints de verser des contributions sociales auprès de différents organismes sociaux.