Statut juridique
Le choix du statut juridique de votre entreprise est une étape importante lors de sa création. Il est essentiel de bien comprendre les différences entre les différents types de statuts juridiques afin de choisir celui qui convient le mieux à votre entreprise.
Un statut juridique peut déterminer le niveau de responsabilité personnelle que vous assumez, le montant d’impôts que vous devez payer et les procédures de dissoudre votre entreprise.
Il est donc important de bien prendre en compte les caractéristiques de chaque statut juridique et de prendre le temps de consulter des professionnels avant de prendre votre décision.
Les statuts juridiques sont nombreux en France, ce qui ne facilite par le choix des entrepreneurs. Afin de choisir le statut idéal, il faut répondre à plusieurs questions :
- Voulez vous entreprendre seul ou à plusieurs ?
- Avez vous un patrimoine personnel à protéger ?
- Souhaitez vous bénéficier du régime général de la sécurité sociale ?
- …
Cette rubrique vous permettra d’y voir plus clair et de choisir une forme juridique adaptée à votre situation.
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comparerRégime juridique adapté aux projets d’envergure, la société anonyme dispose d’un mode de fonctionnement et de caractéristiques particuliers. La constitution d’une telle entreprise doit s’effectuer suivant un certain nombre de critères liés notamment au nombre d’actionnaires et au montant du capital social. Une SA doit également mettre en place une structure bien définie pour assurer sa gouvernance. Découvrez dans cet article les spécificités et fonctionnement des Sociétés Anonymes.
La société anonyme ou SA est de loin la forme juridique la plus ancienne. Néanmoins, elle reste peu prisée par les créateurs d’entreprise. Entre autres, ce statut est particulièrement dédié aux projets importants. Parcourez les lignes qui suivent pour comprendre le fonctionnement et les caractéristiques d’une société anonyme, mais surtout de connaitre ses avantages et ses inconvénients.
Le choix de la forme juridique est une étape décisive lors de la création d’une entreprise. Le bon fonctionnement de celle-ci en dépend. Dans le cadre de la constitution d’une société commerciale, vous avez plusieurs options en termes de statuts juridiques avec par exemple la SAS et la SA. Mais quel statut est le plus avantageux ? Lequel répond le mieux à vos besoins ? Pour répondre à ces questions, il est important de comprendre le fonctionnement de ces deux statuts juridiques.
Le choix de la forme juridique constitue une étape cruciale en raison de ses impacts sur les procédures de création, le fonctionnement et la fiscalité d’une entreprise. Le statut d’auto-entrepreneur et la SAS ou société par actions simplifiée sont prisés pour leur caractère souple en matière d’obligation légale. Cependant, ils diffèrent significativement sur plusieurs points qui sont à prendre en compte pour choisir selon les besoins du dirigeant et les objectifs de croissance de l’entreprise.
Vous souhaitez créer votre entreprise et vous vous demandez quelle forme juridique adopter ? Entre la société à responsabilité limitée (SARL) et la micro-entreprise (auto-entreprise), le choix dépend de votre projet et vos perspectives. Dans ce cas, il s’avère nécessaire de connaître les caractéristiques de chacune d’entre elles. On fait le tour d’horizon !
Mettre sur pied une entreprise ou une société pour offrir des services est une décision importante, qui mérite une mûre réflexion. Il existe plusieurs formes juridiques dont l’entreprise individuelle et la société unipersonnelle.
Une entreprise individuelle représente une activité créée par une tierce personne physique. Cette dernière est au centre de son entreprise.
La société unipersonnelle peut être constituée d’une personne morale ou juridique si c'est une SASU. Une ou plusieurs personnes peuvent mettre en place une société unipersonnelle. Si vous êtes un débutant en entrepreneuriat, le choix entre une entreprise individuelle et une société unipersonnelle reste un casse-tête.
Afin de mieux s’orienter dans le choix de création de son entreprise, il est capital de prendre connaissance des différences principales entre les deux formes d’entreprise. Pour créer une entreprise individuelle, vous n’avez pas à prévoir un capital. La séparation du patrimoine personnel et professionnel. La société unipersonnelle permet de mettre à l’abri votre patrimoine personnel, au cas où la société tombe en faillite.
La création d’une holding s’avère intéressante pour la reprise et la cession des entreprises. C’est aussi une solution idéale pour réaliser des placements financiers ou encore augmenter son influence économique dans un secteur d’activité. En permettant de mutualiser les ressources financières des sociétés filiales, cette structure présente de nombreux atouts. Découvrez dans cet article la définition d’une holding financière et les avantages qu’elle offre.
Lors de la création d’une holding, les entrepreneurs se posent souvent la question « quel type de holding choisir ? ». En effet, une société mère a pour but d’acquérir le contrôle sur l’unité de direction de filiales. Au moment de la création, vous aurez le choix entre une holding passive et animatrice. Dans les lignes suivantes, faisons un point sur la différence entre les deux.
La holding est souvent plébiscitée pour mieux structurer une activité. Ce montage juridique s’avère avantageux, mais compte également quelques inconvénients. Le point sur le sujet.
Pour créer une société à plusieurs, on est amené à choisir la forme sociale qui est appropriée, du point de vue de l’entrepreneur, ainsi que de l’activité économique à exercer. Vous trouvez ci-dessous, une brève étude comparative, de la Société à responsabilité limitée (SARL) et de la Société par actions simplifiées (SAS).
En vigueur depuis le 1er janvier 2011, le statut d’entrepreneur individuel en responsabilité limitée a été mis en place, dans le but principal de protéger le patrimoine privé de l’entrepreneur qui exerce son activité dans le cadre d’une entreprise individuelle. Dans ce présent article, nous vous présenterons les caractéristiques particulières de l’EIRL, ainsi que les régimes fiscal et social qui s’appliquent à elle. Vous seront également présentés, les avantages et inconvénients du statut d’entrepreneur individuel à responsabilité limitée.
En dépit de la crise sanitaire qui a fortement ébranlé l’économie mondiale depuis 2020, les Français continuent d’entreprendre. La preuve : 995 868 entreprises ont été créées en France en 2021 d’après les chiffres de l’INSEE. Soit une augmentation de 17,4 % par rapport à l’année précédente. La forme sociétale a enregistré le plus grand nombre de créations, suivie par la microentreprise.
Les raisons de cette augmentation ? Des formalités de création simplifiées, des aides à la création d’entreprise... Cette année 2022, plusieurs réformes vont être mises en place par le gouvernement pour inciter d’autant plus les Français à entreprendre.
Mais quel est le meilleur statut pour entreprendre en 2022 ? Voici un guide pratique pour ceux qui veulent se lancer dans l’aventure entrepreneuriale.
La phase de test est un préalable incontournable à la création d’entreprise. Beaucoup d’entrepreneurs font l’erreur de sauter cette étape. Pourtant, c’est en prenant le temps d’étudier son activité que le porteur de projet peut atteindre rapidement ses objectifs. En effet, c’est au cours de ce stade qu’il connaît au mieux les attentes des clients ainsi que les forces et faiblesses de son activité. À l’issue du test, il peut décider de poursuivre son aventure entrepreneuriale ou de l’abandonner. Le projet d’entreprise étant encore en cours de construction et, donc, susceptible de modification, il convient de lui attribuer un statut juridique simple et flexible. Pour un entrepreneur qui souhaite tester une activité en solo, le statut d’entreprise individuelle à responsabilité limitée (EIRL) au régime micro-entreprise sera parfait.
Légalement, toute entreprise nouvellement créée doit avoir un statut juridique. Celui-ci a en effet plusieurs impacts sur la vie sociale de l’entreprise, dues dirigeants et des sociétés.
Le statut juridique doit obligatoirement être inséré dans les statuts. C’est donc une information publique à laquelle tout le monde peut accéder.
Comment faire pour connaître le statut juridique d’une entreprise ? C’est justement le sujet de cet article. Il fera également un bref rappel de l’utilité du statut juridique ainsi que les choix possibles.
Se lancer en solo dans une aventure entrepreneuriale, être son propre patron et détenir la totalité du pouvoir de décision, voilà autant d’intérêt de créer une entreprise individuelle. Mais ce type d’entreprise présente aussi un inconvénient majeur : celui de laisser l’entrepreneur supporter seul et de façon illimitée les dettes professionnelles. Pour se protéger, le créateur d’entreprise a la possibilité de constituer une EIRL. Mis en vigueur depuis l’année 2011, ce statut juridique apparait comme la solution adéquate pour un entrepreneur qui désire exercer une activité professionnelle en toute liberté et avec un minimum de protection.
Le choix de la forme juridique d’une société relève d’une importance capitale. C’est en effet elle qui définit les règles de fonctionnement, de fiscalité, de droit de travail et les risques encourus par le dirigeant. Il faut en effet savoir que certaines formes d’entreprises comportent plus de risques que d’autres. Ainsi, si la structure rencontre par exemple des difficultés financières, la responsabilité de l’ensemble des associés est engagée jusqu’à un certain niveau. Afin d’éviter des mauvaises surprises et pour pouvoir prendre des précautions, voici les formes d’entreprise les plus risquées.
Au moment de créer votre entreprise, vous devez attribuer une personnalité juridique à celle-ci. Vous entendrez alors parler de « personne physique » et de « personne morale ». Mais que signifient exactement ces termes ? Quelles sont les différences entre ces deux entités ? Nous allons faire le point sur le sujet.
À la différence d’une personne physique, une personne morale n’a pas d’existence matérielle. Celle-ci est toutefois représentée par au moins une personne physique étant habilitée à l’engager et donc à prendre en charge les fonctions de représentant légal. Il faut savoir qu’au moment d’immatriculer la société, l’entrepreneur ayant choisi un statut de société donne naissance à une personnalité morale. Dans ce guide, découvrez les caractéristiques de cette personnalité juridique et les démarches à sa création.
La loi distingue les sociétés commerciales et les sociétés civiles. Ces deux formes de sociétés se différencient notamment par la nature de leur objet social. Néanmoins, la règlementation sur les sociétés civiles et les sociétés commerciales s’est considérablement rapprochée, entrainant une certaine confusion entre les deux notions. Dans cet article, découvrez tout ce qu’il faut savoir sur une société commerciale.
Adopter le statut d’entrepreneur individuel se montre comme une alternative alléchante pour démarrer une activité indépendante. À cette fin, vous avez le choix entre les deux formes d’entreprise individuelle qui sont l’EI et l’EIRL. La recommandation est de prendre son temps pour bien choisir, car chaque forme répond à des règles précises. En effet, l’EI et l’EIRL, bien que similaires, présentent tout de même de nombreuses différences. Cet article vous aide à vous familiariser entre ces deux possibilités afin de prendre une décision éclairée pour votre projet entrepreneurial.
EIRL ou EURL, quel statut choisir ? Le choix d’une forme juridique pour son entreprise est un dilemme pour un entrepreneur surtout lorsqu’il est sans associé. Entre les démarches de création, la protection du patrimoine, l’imposition... beaucoup de questions se posent. En pratique, EIRL et EURL permettent de se lancer seul dans un projet. Au-delà de ce point commun, ces deux formes renvoient à des réalités bien différentes qu’il est indispensable de connaître.
Le choix d’un statut juridique est incontournable lors de la création d’une entreprise. Cette étape est d’autant plus problématique pour un entrepreneur qui se lance seul dans le démarrage de son activité. En effet, plusieurs options s’offrent à lui. Parmi elles, les statuts EIRL et SASU intéressent plus d’un en donnant la possibilité de protéger le patrimoine du créateur. Ces deux statuts juridiques ont chacun DES avantages et limites que nous allons mettre en lumière pour vous aider à bien choisir. Alors EIRL ou SASU ? Place au match.
La SELASU qui signifie société d’exercice libéral par actions simplifiée unipersonnelle fait partie des sociétés d’exercice libéral. Elle est la version unipersonnelle de la SELAS ou société d’exercice libéral par actions simplifiée et est donc aussi peu encadrée par la loi. À ce titre, la SELASU est constituée par un seul associé exerçant une profession libérale règlementée.
Découvrez dans ce dossier tout ce qu’il y a à savoir sur la SELASU : ses modalités de fonctionnement, ses avantages et inconvénients, les formalités de constitution, etc.
Si pour les entreprises commerciales classiques, il y a l’EURL, pour les professions libérales, il s’agit de la SELURL. Cette dernière constitue une déclinaison de la SEL (Société d’Exercice Libéral) qui permet aux professions libérales d’exercer leur activité sous forme de sociétés de capitaux. Néanmoins, qu’est-ce que la SELURL ? Qui peut opter pour ce statut ? Quels sont ses avantages ? Et ses limites, qu’en est-il ? Toutes les réponses dans cet article.
La startup a beau être reconnue en tant qu’entreprise concernant son statut juridique, il n’en demeure pas moins que de nombreuses différences existent entre une startup et la notion d’entreprise comme on l’entend traditionnellement. La création d’une startup aura tendance à séduire des entrepreneurs dynamiques et ambitieux souhaitant conquérir le marché économique et augmenter exponentiellement la valeur de leur entreprise. La création d’une entreprise plus classique quant à elle rassurera bon nombre d’entrepreneurs qui ont déjà des objectifs bien établis et qui ne souhaitent pas partir en totale roue libre concernant la gestion de leur entreprise.
Cette dichotomie quelque peu simpliste comprend également de nombreux autres aspects qui permettent aisément aux entrepreneurs de faire un choix éclairé quant à la forme d’entreprise qu’ils devraient privilégier pour leur projet. Voici une présentation concise et claire des principaux aspects qui différencient une startup d’une entreprise traditionnelle.
La startup représente un modèle économique attractif pour tous les entrepreneurs qui souhaitent développer un business proposant un projet innovant. Au-delà de la motivation sans failles nécessaire que présentent bien souvent ces entrepreneurs ambitieux, les différentes démarches administratives et juridiques restent un préalable au développement de la startup.
Au moment de créer la startup, se posera notamment la question du choix du statut juridique de l’entreprise. Est-ce que tous les statuts juridiques d’entreprise sont adaptés à une startup ? Quel est le meilleur statut juridique pour développer une startup ? Y a-t-il des pièges à éviter ? Pour vous aider à choisir le statut juridique de votre entreprise le mieux adapté à votre projet, nous vous expliquons en détail les avantages et les désavantages de chaque forme juridique d’entreprise pour une startup.
Le terme de startup est de plus en plus présent au sein des différents articles et autres parutions basés sur l’entrepreneuriat et les entreprises à succès. Loin d’être un concept économique nouvellement créé, le concept de startup s’est progressivement développé avec notamment l’emballement des différentes actions en bourse des entreprises. Ces dernières années, l’engouement pour les startups n’est plus à démontrer. Avec le développement de plus en plus accéléré de tout ce qui touche aux nouvelles technologies et à l’économie numérique, la startup séduit les jeunes talents qui souhaitent casser les codes traditionnels du développement économique d’une entreprise. Ils souhaitent être libres de tester tous les modèles économiques qui permettraient un développement rapide de leur projet.
Dès lors, qu’est-ce qu’une startup exactement ? D’où vient cette notion de startup ? Quel est le portrait type d’un startuper ? Si vous aviez encore une notion floue de ce que représente une startup, nous vous présentons de suite les spécificités de ce concept économique qui séduit de plus en plus d’ambitions entrepreneurs.
L’entreprise individuelle est en France une forme juridique très répandue et appréciée des créateurs d’entreprise. On parle également d’exercice en nom propre.
Le chef d’entreprise exerce ainsi son activité en son nom, sans qu’une distinction soit faite, sur un plan juridique, entre son entreprise et sa personne. C’est la différence principale avec la société.
Cette rubrique vous donne les clés pour bien comprendre l’entreprise individuelle.
Pour exercer la profession d’agent commercial indépendant, vous avez le choix entre plusieurs formes juridiques d’entreprises et de sociétés. Si vous souhaitez débuter cette activité professionnelle en vous assurant un filet de secours de ne rien devoir payer si vous ne percevez pas de rémunération, le régime du micro-entrepreneur est à privilégier. De plus, contrairement à l’immatriculation de certaines formes juridiques d’entreprises qui peuvent nécessiter de nombreuses formalités administratives, le régime de la micro-entreprise est facilement accessible à tous les professionnels souhaitant se lancer dans une activité professionnelle.
Un contrat d’agent commercial est généralement conclu entre une entreprise souhaitant confier les actes de prospection commerciale et de vente à un agent commercial indépendant. N’étant pas soumis au même régime qu’un VRP, l’agent commercial indépendant est considéré comme un travailleur indépendant et non un salarié. Dès lors, il n’y aura pas de lien de subordination entre le gérant de l’entreprise mandante et l’agent commercial indépendant qui agit en qualité de mandataire. Par conséquent, afin de régir la relation contractuelle entre une entreprise mandante et un agent commercial indépendant, la rédaction d’un contrat d’agent commercial s’avère nécessaire.
Est-il obligatoire de rédiger un contrat d’agent commercial ? Quelles sont les garanties offertes par un contrat d’agent commercial ? Comment se prémunir d’éventuels abus concernant les clauses contenues dans le contrat d’agent commercial ? Si vous êtes une entreprise souhaitant faire appel à un agent commercial indépendant ou si vous exercez vous-même la profession d’agent commercial indépendant, nous vous expliquons de suite pourquoi il est important de rédiger convenablement un contrat d’agent commercial.
Vous souhaitez vous reconvertir dans le commerce ? Vous avez de l’énergie à revendre et un bon sens du relationnel ? Le métier d’agent commercial indépendant est donc peut-être fait pour vous. Cette profession peut s’exercer sous différents statuts juridiques. Pour que vous ayez toutes les informations indispensables avant de vous lancer en tant qu’agent commercial indépendant, nous vous détaillons ici toute la procédure d’inscription que vous devrez effectuer, quel que soit le statut juridique choisi.
La protection du patrimoine personnel est l’une des questions fondamentales à se poser lorsque l’on veut créer son entreprise. L’exercice d’une activité indépendante entraîne en effet son lot d’incertitudes et de risques. Faire de mauvais choix pourrait avoir un effet désastreux sur la vie personnelle du porteur de projet.
Il existe plusieurs façons de protéger ses biens personnels lors de la création d’entreprise. Le statut juridique a ainsi une incidence significative sur la protection du patrimoine personnel.
Cette rubrique détaille pour vous les différentes façons de protéger ses biens personnels lorsque l’on est créateur d’entreprise.
La société anonyme est la forme juridique par excellence des grandes entreprises et des sociétés cotées. Son fonctionnement rigide et hiérarchisé permet de gérer une multitude d’actionnaires et de contrôler les pouvoirs en place. C’est une forme sociale particulièrement contraignante, qui n’est pas adaptée à tous les projets de création d’entreprise.
Cette rubrique décrypte pour vous les caractéristiques et le fonctionnement de la société anonyme.
Le projet de loi relatif à la croissance et la transformation des entreprises (PACTE) modifie le paysage social et entrepreneurial. Dans un but de simplification, l’Entreprise Individuelle à Responsabilité Limitée (EIRL) voit son régime évoluer sur un certain nombre de points, en particulier celui lié à l’affectation du patrimoine de l’entrepreneur. Quelles sont ces modifications ?
Choisir un statut juridique adapté est une étape essentielle de la création d’entreprise. Le statut juridique emporte en effet toute une batterie de conséquences juridiques, fiscales et sociales.
Le droit met à la disposition de l’entrepreneur une large variété de statuts juridiques, présentant chacun des caractéristiques bien distinctes. Afin d’y voir plus clair, cette rubrique décrypte pour vous les différents statuts et les critères pour bien choisir.
Les professions libérales ont à leur disposition une variété de statuts juridiques adaptés à l’exercice de leur activité. Si certains sont réservés aux professions libérales réglementées, d’autres présentent un champ plus large. C’est le cas de la Société Civile de Moyens (SCM). La SCM présente la particularité de ne pas être une société d’exercice. Cette forme de société permet de mettre en commun des moyens d’exploitation pour une société qui a pour objet l’exercice des professions libérales réglementées. Cette rubrique décrypte pour vous les caractéristiques et le fonctionnement de la société civile de moyens.
De son nom complet la Société d’Exercice Libéral en Commandite par Actions, la SELCA est un mode d’exercice ouvert aux professions libérales réglementées. Construite sur le modèle de la Société en Commandite par Actions, elle apporte au droit commun quelques dérogations prenant leur source dans son objet social particulier. Cependant, depuis quelques années, le régime de la SELCA se libéralise de manière significative. L’objectif ? Renforcer le poids de ce type de structure libérale sur le marché de l’Union européenne et mondial.
De son nom complet la Société d’Exercice Libéral à Forme Anonyme, la SELAFA fait partie de la liste des sociétés commerciales ouvertes aux professions libérales réglementées. Si ses règles de constitution et de fonctionnement se rapprochent du droit commun des sociétés commerciales, des spécificités existent pour tenir compte des caractéristiques de l’activité libérale. Les règles de SELAFA se sont cependant libéralisées au cours de ces dernières années, pour renforcer le poids de ce type de structure sur le marché de l’Union européenne et mondial.
Lorsque l’on souhaite créer une entreprise florissante et performante, il est toujours intéressant de s’entourer de plusieurs associés. Il est vrai qu’entreprendre à plusieurs reste le meilleur moyen de cumuler le maximum de facteurs de réussite. D’autant plus que cela permet de réunir des capitaux plus importants, de prendre les décisions stratégiques à plusieurs. Mais surtout de profiter des compétences ainsi que des expériences de chacun pour développer rapidement l’activité professionnelle. Évidemment, le choix du statut juridique le plus approprié à votre projet de création d’entreprises est essentiel pour la bonne marche de celui-ci, mais aussi pour la bonne entente de tout un chacun. Voyons ensemble les différents statuts qui s’offrent à vous.
Activité réglementée, la profession de chauffeur VTC est soumise à des règles bien précises. En ce qui concerne l’entreprise elle-même, vous avez plusieurs solutions juridiques. Le choix de la forme juridique dépend de chaque projet. Présentation de la réglementation et des cadres juridiques possibles pour exploiter une carte professionnelle de voiture de transport avec chauffeur VTC.
Commerce réglementé par le code général des impôts, l’exploitation d’un débit de tabac est soumise à plusieurs obligations légales et administratives. Pour l’immatriculation de l’entreprise, son dirigeant dispose de deux possibilités en ce qui concerne la forme juridique : l’Entreprise Individuelle ou la Société en Nom Collectif.
Il existe différents types de sociétés, chacune régie par des droits et des obligations des associés membres. En fonction de la forme juridique de la société, les droits et les obligations des associés varient. En effet, le statut d’associé n’est pas uniforme et il existe un certain nombre d’attributs fondamentaux attaché à la qualité d’associé. Sachant que la constitution d’une société se fait en vue de partager les bénéfices qui pourraient en résulter, des conflits d’intérêts peuvent apparaître. Par conséquent, il convient de comprendre les différents droits et obligations fondamentaux attribués à l’associé. Découvrez dans cette rubrique tout ce qu’il faut savoir sur les droits et les obligations des associés dans une société.
Si pendant longtemps, le choix du statut juridique SARL était le plus intéressant pour les créateurs d’entreprise qui optaient pour une société à plusieurs, les choses ont changé depuis 2008 avec la loi de modernisation de l’économie du 4 août 2008 (L. n° 2008-776, 4 août 2008). Les assouplissements introduits pour la constitution d’une société par actions simplifiées SAS (capital librement fixé sans minimum et pas d’obligation de commissaires aux comptes sous conditions) ont rapproché son régime de celui de la SARL. Avant même de comparer dans le détail, il est utile de définir les besoins de l’entreprise que vous créez.
Si ce n’est pas le seul critère de choix de la forme juridique de l’entreprise, la nature de votre activité professionnelle est un premier critère déterminant. En effet, le droit des sociétés définit des règles précises qui imposent à certains métiers et professions d’utiliser une forme spécifique. Dans certains cas, plusieurs statuts juridiques sont applicables, avec exclusion de certains. Du régime de l’autoentrepreneur indépendant ou assimilé-salarié (micro-entreprise) à la société anonyme (SA), les choix sont larges, mais parfois limités à un statut juridique précis, en fonction la nature de votre activité professionnelle (Entreprise Individuelle à Responsabilité, Unipersonnelle à Responsabilité, etc.).
Part sociale et action, ces deux notions sont souvent confondues, pourtant elles embrassent deux réalités différentes aussi bien sur leur fonction juridique que sur leur fonction fiscale. Mais leur point commun, c’est que toutes les deux désignent un apport de titre de propriété dans une société. Quelle est la différence entre ces deux termes ? Quand est-ce qu’on parle d’action ou de part sociales ? Cet article lève le voile sur ces deux notions.
Dans le cadre d’une société par actions de type SAS, Sociétés Anonymes et SCA, des actions de préférence peuvent parfaitement bien être mises en place en fonction des valeurs mobilières émises par les marchés financiers. Il s’agit de titres de société qui confèrent des droits particuliers attachés aux personnes qui en sont titulaires. Il convient d’ailleurs de ne pas les confondre avec les actions ordinaires. En effet, ces actions se distinguent aussi bien par leur valeur nominale que par les prérogatives qu’elles attribuent. L’émission de ces titres doit en tout cas suivre une procédure spécifique, que ce soit par une transmission ou une cession des titres. Et ce, que cette création s’opère au moment de la création de l’entreprise ou bien en cours de vie sociale. Alors, comment procéder pour créer des actions de préférence ? Éléments de réponse.
Pour exercer leur activité professionnelle au sein d’une même société, des avocats qui ouvrent un cabinet peuvent constituer une société civile professionnelle (SCP). Quelles sont les démarches à accomplir pour immatriculer une telle société civile au registre du commerce et des sociétés (RCS) ?
Pour bénéficier du statut d’Entreprise Individuelle à Responsabilité Limitée EIRL, les entrepreneurs individuels doivent, entre autres formalités, procéder au dépôt de la déclaration au CFE dont il dépend une déclaration d’affectation du patrimoine. Cette dernière doit mentionner les informations obligatoires et être publiée au registre de publicité, auquel cas elle est irrecevable par le greffe du tribunal (Code du commerce. articles L. 526-7 et L. 526-8). Le manquement à cette obligation peut non seulement faire perdre son statut à l’entrepreneur, mais également lui faire perdre la totalité de ses biens (personnels et professionnels) en cas de liquidation judiciaire. Quels sont les éléments à mentionner dans cette déclaration ? Quelles sont les formalités à suivre ? Les détails.
Si vous cherchez un cadre juridique pour créer votre entreprise, le groupement d’intérêt économique (GIE) n’est pas la solution. Par contre, si vous avez déjà démarré votre activité économique, une telle structure juridique peut vous permettre de la développer avec d’autres entrepreneurs, sans avoir à vous associer. Explications.
Si vous voulez démarrer une activité de profession libérale, vous pouvez l’exercer sous plusieurs formes juridiques. De la simple entreprise individuelle, avec le régime de la micro-entreprise, à la société sous ses différentes formes, la nature de votre activité professionnelle va déterminer le cadre que vous pouvez utiliser. Pour certaines professions libérales dont l’exercice est réglementé, il existe des spécificités à connaître. Sous certaines conditions réglementaires, il est également possible de regrouper plusieurs activités réglementées, identiques ou complémentaires. Panorama des différentes solutions juridiques possibles.
En fonction de la nature de votre activité professionnelle, vous avez le choix entre le statut juridique d’une entreprise commerciale et une entreprise de responsabilité civile. Chacune d’elles se présente d’ailleurs en plusieurs formes qui correspondent à des situations différentes. Mais, ce n’est pas tout ! Ces sociétés possèdent également leurs propres particularités, notamment en matière de fiscalité. Décryptage.
Lorsqu’il s’agit de créer une société seul, il n’y a pas trente-six solutions. Pour le choix du statut, soit on opte pour l’entreprise unipersonnelle à responsabilité limitée (EURL), soit on adopte la société par actions simplifiée unipersonnelle (SASU). En 2017, 37 % des entrepreneurs ont misé sur la SASU contre 15 % seulement pour l’EURL. Alors, laquelle de ces formes juridiques choisir ? Éléments de réponse.
Pour plus de compétitivité, le contexte économique pousse les actifs professions libérales à se constituer en société pour exercer leurs activités. Néanmoins, pour les personnes exerçant une profession libérale réglementée il est nécessaire d’opter pour les statuts Sociétés d’Exercice Libéral SEL. Parmi les statuts juridiques de Société d’Exercice Libéral SEL, les sociétés d’exercice libéral à responsabilité limitée se présentent comme la forme juridique la plus prisée par les professions libérales. Découvrez pourquoi.
Avocats, masseurs-kinésithérapeutes ou pharmaciens… les professionnels libéraux optent pour la création d’une Société d’Exercice Libéral par Actions Simplifiée afin de pouvoir exercer leur activité. Les questions qui se posent alors sont les suivantes : qu’est-ce qu’on entend exactement par SELAS ? Quels sont ses caractéristiques et ses principaux avantages ? Et quelles démarches faut-il entreprendre dans le cadre de sa constitution ? Tout de suite les réponses.
Intervenant souvent dans le cadre d’une acquisition d’entreprise, d’une création de filiales ou encore d’une optimisation fiscale, la création d’une holding offre un certain nombre d’avantages aux dirigeants. Il va sans dire que la gestion d’une telle société nécessite un minimum de dépenses : frais d’immatriculation, frais d’expertise-comptable, etc. Question avant de se lancer : quel est l’objet de cette forme de société ?
Les conflits entre associés font, hélas, partie de la vie d’une entreprise ! Quelles que soient leurs causes et leurs formes, ils conduisent généralement à des prises de décisions désastreuses, voire entraînant la paralysie du fonctionnement de la société. Afin de trouver l’issue la moins douloureuse, il convient d’abord de prévenir les risques de conflits entre associés dès la constitution de la société. S’ils sont déjà installés, il faut alors les gérer.
Vous avez murement réfléchi à votre projet de restaurant. Le business plan est sans doute bien ficelé ! Vous avez trouvé le concept, le local, éventuellement les partenaires, il n’y a plus qu’un pas à faire : le choix de la forme et les formalités pour créer votre restaurant. Cette étape ne doit pas être un obstacle pour le démarrage de votre activité professionnelle. Ce qui est important, c’est de bien comprendre les enjeux, et savoir ce qu’il faut accomplir comme démarche, avant de pouvoir ouvrir les portes du restaurant. Cette rubrique a été faite pour vous indiquer les principales formalités juridiques.